ANNEE 1777
FORMAT 20 CM X 24 CM
Feuille double soit 4 pages du format ci-dessus
PAGE 1 LETTRE COMPLETE ET SIGNEE
PAGES 2 ET 3 PAS DE TEXTE
PAGE 4 DESTINATAIRE MARQUE POSTALE "ANTIBES"
ET TAXATION MANUSCRITE DE L’ACHEMINEMENT DU PLI depuis Antibes jusqu’à Marseille
DOCUMENT EN BONNE CONDITION ET TRES FRAIS
LETTRE COMPLETE ET SIGNEE
LETTRE ADRESSEE A MR BERTN COMMISSAIRE DES PORTS ET ARSENAUX DE MARSEILLE
FAIT REFERENCE A UN ORDRE DE MR DE SARTINE
MATELOT / MARIN HANGARGUE décédé ??
GARDE DE SA MAJESTE SICILIENNE
VERSEMENT A L’EXTRAORDINAIRE
ETC
VOIR SCANS
RARE LETTRE
VOIR HISTORIQUE
1/ SUR DE SARTINE
SOURCES
https://fr.wikipedia.org/wiki/Antoine_de_Sartine
EXTRAIT
Le secrétaire d'État à la Marine[modifier | modifier le code]
En 1774, Louis XVI écrit de Compiègne une lettre par laquelle il annonce la nomination de deux nouveaux ministres, Turgot et Sartine. Le souverain ajoute : « Je voudrais pouvoir récompenser ainsi tous les grands talents qui honorent leur siècle en contribuant à la civilisation et au bien-être des peuples. »
Proche du « parti Choiseul », Sartine accède au secrétariat d’État à la Marine en août 1774, place qu'il occupe jusqu'en octobre 17802. Il tente alors de rationaliser l'administration de la Marine. Ainsi, il s'intéresse de près aux fonderies en créant en particulier celle de l'Indret. Il confie au chevalier de Fleurieu la direction des ports et des arsenaux royaux. Sartine entreprend là aussi de grandes réformes mises au point par sept ordonnances 1776. La haute main sur la Marine est donnée aux officiers au détriment des administrateurs civils. Les constructions navales sont activement poussées. Enfin, la qualité du corps des officiers, recrutés surtout dans la noblesse (comme Charles Louis du Couëdic et ses trois neveux par exemple), est même considérablement améliorée. Cette politique devait porter ses fruits lors de la guerre d'indépendance américainedans laquelle il mit à profit son expérience du renseignement acquise dans la Police. Les historiens évoquent une « phase de Sartine » qui aurait précédé une « phase Castries » dans la chronologie des opérations militaires.
Au début de la guerre d'Indépendance américaine la France avance masquée. On confie un million de livres à Beaumarchais pour faire parvenir des munitions et des volontaires aux Américains. Le premier départ le 14 décembre 1777, du Havre, est un fiasco, seul un navire gagne le large avec le colonel Tronson du Coudray à bord. Devant les risques des navires de commerce, Sartine met en place des convois obligatoires qui retardent les départs, mais assurent la sécurité. Les navires armés par Jean Peltier Dudoyer, pour le compte de Beaumarchais et Montieu, ont toutes les difficultés à former leurs équipages, la "Royale" est privilégiée. La destination officielle des bateaux aidant les Américains est Saint-Domingue, le plus souvent. La situation est tendue pour les armateurs jusqu'au traité d'alliance avec les États-Unis, alors le Ministère de la Marine les sollicitent, on les incite à armer leurs navires en leur accordant des commissions "Guerre et marchandises". Et le départ du Lion, corsaire armé à Nantes pour les Américains, par Jean Peltier Dudoyer, devient possible. Au large il sera rebaptisé le Deane.
Sartine fait preuve de modernisme, il décide de faire doubler de cuivre l’escadre de Ternay, ce qui protège les coques et améliore la vitesse des navires. Il ne sait pourtant pas endiguer le gaspillage de ses officiers. En 1780, accusé par Necker de détournement dans les caisses de l'État — on parle d'une somme de vingt millions —, il est disgracié le 14 août de la même année par Maurepas. En fait, Sartine est un ministre honnête mais qui a laissé déraper les dépenses de guerre et a émis des emprunts au profit de la Marine sans en informer le ministre des finances et le roi. Louis XVI lui accorde néanmoins une gratification de 150 000 livres et une pension de 70 000 livres.
Détesté pour son usage « arbitraire » des lettres de cachet, stigmatisé par les libellistes, inquiété par les événements de 1789, il émigre dès 1790 en Espagne où il meurt sans revoir la France. Il évite ainsi le sort de son fils, Charles-Louis-Antoine de Sartine, et de sa bru, qui, restés à Paris, seront guillotinés au procès des chemises rouges, le 29 prairial an II (17 juin 1794).
2/ SUR BERTIN PORTS ET ARSENAUX DE MARSEILLE
SOURCES
PDF]
De l'Intendance au Commissariat de la Marine (1765 – 1909)
https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01101511/document
de A Bournonville - 2014 - Cité 1 fois - Autres articles
14 janv. 2015 - Partie 2 : Les Commissaires de la Marine, délégués du ministre de la Marine ... l'étude du département, du port et arsenal de Toulon, thèse pour le doctorat en Droit, Aix-en-. Provence : Université d'Aix-Marseille, 1951, 396 p. ; DUMON ...... Comme les d'Abbadie, les Bailly, les Bégaud, les Bégon, les Bertin.
3/ SUR SA MAJESTE SICILIENNE
VOIR
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ferdinand_Ier_(roi_des_Deux-Siciles)