Année 1923
Format 13.5 CM X 21.5 CM
FEUILLE DOUBLE
ENTETE COMAPGNE MAROCAINE à Casablanca
VOIR HISTORIQUE INTERESSANTE SUR CETTE COMPAGNIE créée par le Groupe Schneider
SUR LE TEXTE : ETAT DE RENCONTRE ET
EXPLICATION SUR L AUTEUR DE LA LETTRE ( Famille / Formation / etc)
ET SUR LES LEINS AVEC LAPERSONNE RENCONTREE
ET DESTINATAIRE DE LA LETTRE
L’AUTEUR DE LA LETTRE EST
Gaston Marie Joseph de Caqueray de Valolive (1869-1964°
Voir historique sur ce nom ci après en fin de DESCRIPTION
A LIRE ABSOLUMENT
VOIR SCANS
VOIR HISTORIQUZE
1/ SUR COMPAGNIE MAROCAINE
2/ SUR Gaston Marie Joseph de Caqueray de Valolive (1869-1964)
HISTORIQUE
1/ SUR COMPAGNIE MAROCAINE
SOURCES
https://fr.wikipedia.org/wiki/Compagnie_marocaine
EXTRAIT
Historique
La Compagnie marocaine est fondée en 1902 par un groupe d'industriels français, avec à leur tête Schneider, pour développer des activités commerciales, industrielles et agricoles au Maroc.
Eugène II Schneider en est le premier président. À la faveur d'une augmentation de capital, un représentant de la Banque de l'Union parisienne en assura la présidence à partir de 1911.
Elle prend part à la création de la Compagnie des chemins de fer du Maroc, dont elle devient l'un des principaux actionnaires.
La Compagnie marocaine est cotée à la Bourse de Paris en 1920.
HISTORIQUE
2/ SUR Gaston Marie Joseph de Caqueray de Valolive (1869-1964
SOURCES
https://fr.wikipedia.org/wiki/Famille_de_Cacqueray
EXTRAIT
Gaston Marie Joseph de Caqueray de Valolive (1869-1964), auteur de la généalogie Cacqueray intitulée Évocations du passé familial [Notes généalogiques, biographiques et historiques sur les Cacqueray, de 1191 à 1946], d'où est extraite cette notice biographique (p.319) : "Entré le 1er octobre 1886 à l'Ecole Navale, alors sur le Borda en rade de Brest, embarqua en octobre 1888 sur la frégate Iphigénie, école d'application, puis en octobre 1889 sur le cuirassé Marengo ; il le quitta pour faire campagne dans l'Océan Pacifique (1890-1892) à bord du croiseur à mâture le Dubourdieu. Enseigne de vaisseau sur le Forfait dans les mers de Chine, puis officier en second de la canonnière Lion (1892-1894), il sert ensuite à Lorient au bataillon de fusiliers marins et à l'École de tir. De là il passe sur le Bouvines en escadre du Nord, à l'état-major du contre-amiral de Courthille et l'accompagne en Espagne, en Angleterre lors du Diamond Jubilee de la reine Victoria, en Russie, sur le Pothuau, lors du voyage du président Félix Faure. Promu lieutenant de vaisseau en mai 1898, quelques semaines avant ses derniers examens de licence en droit, il obtint un congé hors cadre pour être attaché aux Etablissements Schneider, qui lui confièrent en 1899 une mission d'études au Maroc. De là vint qu'il fut le promoteur de la compagnie marocaine, dont les initiatives ne furent pas sans mérite durant les années d'incertitudes qui précédèrent l'établissement du protectorat français sur l'empire chérifien. Spécialisé dans les questions marocaines, Gaston de Cacqueray devint administrateur ou président de diverses sociétés au Maroc. Gaston de Cacqueray, mobilisé d'août 1914 à mars 1919, exerça les fonctions de chef de la section de la Presse au cabinet du ministre de la Guerre jusqu'en 1917, puis au cabinet du ministre de la Marine. Membre du comité de l'Afrique Française, administrateur de l'Union Coloniale Française, devenue en 1943 comité de l'Empire Français, officier de la Légion d'honneur du 24 janvier 1919, il était titulaire des médailles commémoratives du Tonkin (campagne du Siam de 1893) et de la guerre 1914-1918, chevalier de l'ordre impérial de Sainte-Anne de Russie et du Dragon d'Annam, grand officier du Ouissam Alaouite. À partir de la déclaration de la guerre en 1939, il fit de fréquents séjours à Dinard comme président de la société civile de l'hôpital de la Providence." |
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